Le covoiturage est une pratique très développée en France. On peut le définir comme étant le fait pour un propriétaire automobile non-professionnel, de mettre son véhicule à la disposition d’une ou de plusieurs personnes dans le but d’effectuer un même trajet. Cette pratique est réglementée par le ministère des transports. Le covoiturage est différent du transport public qu’il s’agisse du transport en commun ou du transport particulier.
Le principe du covoiturage
Pour rester dans le cadre de la légalité, c’est le propriétaire de la voiture qui détermine la destination. Il peut décider de le faire gratuitement ou de demander aux passagers de lui verser un montant qui correspond au partage des frais liés au trajet (prix du carburant et des péages éventuels). Le conducteur ne doit en aucun cas faire des bénéfices, mais il peut inclure les frais d’entretien du véhicule et de l’assurance dans le calcul. Le lieu de départ et le lieu d’arrivée sont connus de tous à l’avance. Il peut arriver que le point de chute diffère d’un passager à un autre. Dans ce cas, le conducteur est tenu de déposer chaque passager où ce dernier le demande sans faire de détour. Lisez plus ici. De plus, si le conducteur se sent fatigué, il peut demander à un passager de prendre le volant.
Les avantages du covoiturage
Le covoiturage est une opportunité à saisir. Il génère des avantages sur le plan personnel et sur le plan communautaire. En effet, il permet au conducteur de faire des économies. D’après une étude, un salarié automobiliste peut économiser environ 2 000 euros par an en faisant du covoiturage. Le covoiturage permet également de réduire la pollution, d’améliorer la convivialité dans les transports, de permettre à ces personnes qui ne peuvent conduire, de se déplacer. Afin d’en bénéficier, votre moyen de transport doit avoir deux roues au minimum.